Dès que l'on parle de l'Afrique, la question du choix pour l'unité ou la pluralité se pose. Faudrait-il, par exemple, parler de la philosophie africaine ou des philosophies africaines, de la jeunesse ou des jeunesses africaines? C'est, pour nous, un vieux débat sur lequel il ne faut plus perdre beaucoup de temps. L'Afrique est une mais aussi plurielle dans la mesure où les réalités sociologiques, économiques et politiques varient d'un coin à l'autre du continent. Ainsi on pourrait dire qu'il y a une Afrique des guerres avec toutes leurs conséquences directes et indirectes mais aussi une Afrique de la paix et plus ou moins engagée sur la voie du développement et de la démocratie.
Du coup, notre cible " la jeunesse africaine " prend fait et cause pour tous les jeunes africains quel que soit leur contexte. Nous ne nions pas l'impact des conditions sur eux mais nous voudrions reconnaître l'impératif qui s'impose à chacun d'eux : entrer véritablement dans l'histoire pour y jouer sa partition. En d'autres termes, ne plus laisser d'autres faire l'histoire et parfois notre histoire à notre place.
Du coup, notre cible " la jeunesse africaine " prend fait et cause pour tous les jeunes africains quel que soit leur contexte. Nous ne nions pas l'impact des conditions sur eux mais nous voudrions reconnaître l'impératif qui s'impose à chacun d'eux : entrer véritablement dans l'histoire pour y jouer sa partition. En d'autres termes, ne plus laisser d'autres faire l'histoire et parfois notre histoire à notre place.
En tant que chrétien et prêtre catholique, notre reprise en profondeur de la réalité et notre projection sur l'avenir auront pour arrière-fond l'enseignement de l'Eglise catholique tant il est vrai que "l'âme africaine" quoique l'on dise, est encore profondement religieuse et que l'on part toujours de quelque part. Pour ce faire, nous marquerons toujours une pause le dimanche autour de la liturgie de la parole.
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