C'est un blog de réflexion qui vise essentiellement la jeunesse africaine. Il se propose de l'aider à entrer pleinement dans l'histoire d'aujourd'hui en comprenant les enjeux de l'avenir.
mercredi 1 juin 2011
Sur le chemin du succès N°1 Bannir la peur et l'insécurité
La peur et l'insécurité, paralysant la créativité et l'initiative, conduisent au repli sur soi. Or, le succès requiert l'interaction positive et dynamique avec les autres. Voir la video
La prudence semble être une réponse directe à la peur. L'homme reste méfiant vis-à-vis de son prochain. La méfiance, la prudence peuvent créer la confance et nous permettre de ne pas tomber dans l'erreur. Mais la réalité de la société africaine en particulier dans notre pays le Bénin est autre dans la mesure où on cherche à exercer le pouvoir, l'autorité afin de dominer l'autre. Je pense que c'est justement cette peur qui nous empêche de faire valoir ce que nous sommes et de montrer qu'en réalité, nous sommes et nous resterons créateurs de bonnes itiniatives. On a besoin de l'autre. C'est le message des Béninois: que chacun vienne boucher les trous de la jarre. La véritable question qui me vient à coeur quand j'écoute cette vidéo, c'est de savoir si c'est effectivement la peur de l'autre qui nous empêche dêtre créatif ou bien au contraire, c'est la juste réponse que nous attendons de Dieu? Car je suis persuadé que seul le travail libère l'homme comme le dirait l'autre.
Je trouve cet article très important, voilà pourquoi après une longue méditation j'y reviens avec quelques questions naïves ! D'abord je tiens à remercier l'abbée Eric qui a osé quelques réflexions et solutions fort intéressantes: la prudence et la confiance en la Providence ! Ce sont bien là des vertus cardinales, puis-je dire, qui restent encore à mettre pratique ! Et demeure totale, la question de comment, car nous sommes toujours dans le sphère des idées qui ont besoin des actions concrètes pour opérer les changements nécessaires ! Le Bénin, longtemps dit quartiers latin, n'aurait-il pas besoin de devenir enfin quartiers ouvriers ? Je m'allie volontiers au commentaire précédent qui préconise le travail comme l'arme de libération du béninois ! Pour évacuer la peur, pourquoi ne pas oser l'action sans la prétention d'être parfait du premier coût ? Pourquoi ne pas oser contredire sans maudire ni faire périr ? Je voudrais en bref, finir avec cette petite phrase d'un conseiller spirituel: " AGIR et non REAGIR " !
La prudence semble être une réponse directe à la peur. L'homme reste méfiant vis-à-vis de son prochain. La méfiance, la prudence peuvent créer la confance et nous permettre de ne pas tomber dans l'erreur. Mais la réalité de la société africaine en particulier dans notre pays le Bénin est autre dans la mesure où on cherche à exercer le pouvoir, l'autorité afin de dominer l'autre. Je pense que c'est justement cette peur qui nous empêche de faire valoir ce que nous sommes et de montrer qu'en réalité, nous sommes et nous resterons créateurs de bonnes itiniatives.
RépondreSupprimerOn a besoin de l'autre. C'est le message des Béninois: que chacun vienne boucher les trous de la jarre.
La véritable question qui me vient à coeur quand j'écoute cette vidéo, c'est de savoir si c'est effectivement la peur de l'autre qui nous empêche dêtre créatif ou bien au contraire, c'est la juste réponse que nous attendons de Dieu? Car je suis persuadé que seul le travail libère l'homme comme le dirait l'autre.
Je trouve cet article très important, voilà pourquoi après une longue méditation j'y reviens avec quelques questions naïves !
RépondreSupprimerD'abord je tiens à remercier l'abbée Eric qui a osé quelques réflexions et solutions fort intéressantes: la prudence et la confiance en la Providence !
Ce sont bien là des vertus cardinales, puis-je dire, qui restent encore à mettre pratique ! Et demeure totale, la question de comment, car nous sommes toujours dans le sphère des idées qui ont besoin des actions concrètes pour opérer les changements nécessaires !
Le Bénin, longtemps dit quartiers latin, n'aurait-il pas besoin de devenir enfin quartiers ouvriers ?
Je m'allie volontiers au commentaire précédent qui préconise le travail comme l'arme de libération du béninois !
Pour évacuer la peur, pourquoi ne pas oser l'action sans la prétention d'être parfait du premier coût ? Pourquoi ne pas oser contredire sans maudire ni faire périr ?
Je voudrais en bref, finir avec cette petite phrase d'un conseiller spirituel: " AGIR et non REAGIR " !