La parole de Dieu de ce dimanche nous donne l’occasion de méditer un passage très connu de l’Evangile : la conversion du collecteur d’impôt Zachée. Ce dernier voulait voir Jésus qui passait, certainement pour satisfaire sa curiosité, tellement la renommée de ce dernier croissait à cause de sa prédication mais aussi des miracles et guérisons qu’il opérait au milieu du peuple. Mais sur le chemin de la réalisation de son désir, se dressent deux obstacles majeurs de nature à le décourager : sa petite taille et la foule qui se pressait autour de Jésus.
Dans la petite taille, nous voyons le symbole de l’étroitesse de nos points de vue qui n’arrivent pas à s’affranchir des urgences et préoccupations terrestres. Nous sommes rivés sur les biens de cette terre et nous n’arrivons pas à lever les yeux vers les cieux, vers les réalités d’en haut. Quant à la foule, elle représente la société, les courants de pensée hostiles à la dimension religieuse de l’homme, la mode de la licence morale érigeant les caprices en absolus, qui nous empêchent d’aller à Jésus. Comme Zachée, nous sommes appelés à prendre de la hauteur par rapport à ces pesanteurs. Ce qui ne pourrait se faire sans un minimum d’effort, de violence sur soi. Juché sur le sycomore, Zachée est perçu par le Christ qui s’invite chez lui : « Vite, descends, car aujourd’hui, il faut que j’aille demeurer chez toi. » Zachée accueillit le Christ avec joie ; le salut et la grâce sont entrés dans sa vie. Et du coup, il y a eu une explosion de joie et d’amour. Zachée promet de distribuer la moitié de ses biens aux pauvres et de réparer quatre fois plus tout dommage créé à autrui. L’accueil de Jésus ou la conversion produit des fruits immédiats de justice, de paix, de bonheur et d’amour.
La première leçon à retenir est que nul n’est perdu pour Dieu ; aucun cas n’est désespéré ou irrécupérable pour le Christ. Jeunes drogués, débauchés, empêtrés dans le vol, le crime, le Seigneur t’aime même s’il déteste ton péché. Il est venu pour toi aussi et il t’attend.
La deuxième leçon est qu’aller à Jésus exige, de notre part, un peu d’effort et de volonté pour vaincre les obstacles. Prendre de la hauteur, s’arracher aux habitudes, ramer à contre courant de la mode ne sont pas des sinécures. Il y a toujours un prix à payer. Jeune africain, n’hésite pas à dire « non » à ce qui compromet ton avenir, ton bonheur et ton amitié avec Jésus.
La troisième et dernière leçon nous rassure sur la bonté du Christ qui vient à notre rencontre dès que nous nous décidons à aller vers lui. Il vient à nous, nous combler de grâces de conversion. Et dès que nous l’accueillons, la joie et le bonheur éclatent dans notre vie. Ne tournons pas plus longtemps le dos à Jésus notre vie et notre bonheur. Allons à lui qui vient à notre rencontre.
Dans la petite taille, nous voyons le symbole de l’étroitesse de nos points de vue qui n’arrivent pas à s’affranchir des urgences et préoccupations terrestres. Nous sommes rivés sur les biens de cette terre et nous n’arrivons pas à lever les yeux vers les cieux, vers les réalités d’en haut. Quant à la foule, elle représente la société, les courants de pensée hostiles à la dimension religieuse de l’homme, la mode de la licence morale érigeant les caprices en absolus, qui nous empêchent d’aller à Jésus. Comme Zachée, nous sommes appelés à prendre de la hauteur par rapport à ces pesanteurs. Ce qui ne pourrait se faire sans un minimum d’effort, de violence sur soi. Juché sur le sycomore, Zachée est perçu par le Christ qui s’invite chez lui : « Vite, descends, car aujourd’hui, il faut que j’aille demeurer chez toi. » Zachée accueillit le Christ avec joie ; le salut et la grâce sont entrés dans sa vie. Et du coup, il y a eu une explosion de joie et d’amour. Zachée promet de distribuer la moitié de ses biens aux pauvres et de réparer quatre fois plus tout dommage créé à autrui. L’accueil de Jésus ou la conversion produit des fruits immédiats de justice, de paix, de bonheur et d’amour.
La première leçon à retenir est que nul n’est perdu pour Dieu ; aucun cas n’est désespéré ou irrécupérable pour le Christ. Jeunes drogués, débauchés, empêtrés dans le vol, le crime, le Seigneur t’aime même s’il déteste ton péché. Il est venu pour toi aussi et il t’attend.
La deuxième leçon est qu’aller à Jésus exige, de notre part, un peu d’effort et de volonté pour vaincre les obstacles. Prendre de la hauteur, s’arracher aux habitudes, ramer à contre courant de la mode ne sont pas des sinécures. Il y a toujours un prix à payer. Jeune africain, n’hésite pas à dire « non » à ce qui compromet ton avenir, ton bonheur et ton amitié avec Jésus.
La troisième et dernière leçon nous rassure sur la bonté du Christ qui vient à notre rencontre dès que nous nous décidons à aller vers lui. Il vient à nous, nous combler de grâces de conversion. Et dès que nous l’accueillons, la joie et le bonheur éclatent dans notre vie. Ne tournons pas plus longtemps le dos à Jésus notre vie et notre bonheur. Allons à lui qui vient à notre rencontre.